Nous poursuivons notre découverte de la ville et de sa région.
Première escale : Simon Fraser University, lieu de travail de Ronan. Cette fois, on n’est plus au bord de la mer, mais dans les montagnes (si si, finalement, elles existent, ce n’est pas un mythe), et la vue sur la ville et les montagnes alentours est magnifique. Bel environnement de travail.
Deuxième escale : Grouse Mountain. Il s’agit d’une station de ski située à 20 minutes du centre ville de Vancouver, à laquelle on accède par téléphérique ou… à pied (ou en raquettes, selon la saison), par un sentier. Anne et Roro optent pour le téléphérique. Nous choisissons de monter à pied : les 3 jours de bus nous ont plutôt laissés les jambes lourdes et nous avons besoin d’un peu d’exercice. 800 m de dénivelé sur 2,7 km, ça grimpe. Pour l’anecdote, on peut acheter au pied de la montagne une puce électronique qui calcule le temps de montée à pied, et qui l’enregistre sur le site internet de la montagne.
On peut également savoir en direct qui se trouve sur le sentier grâce à cette puce, via le site Internet. Une course est également organisée tous les ans (c’était hier, d’ailleurs) sur cette montée, au profit d’une association caritative. Le meilleur temps est d’une vingtaine de minutes chez les hommes, une trentaine chez les femmes. Nous, nous l’avons montée sans courir en 1 h 05. Manu, c’est une course pour toi !!!
Au sommet de la montagne, on a bien sûr, une vue magnifique sur Vancouver et le Pacifique, mais également diverses activités touristiques et animations, notamment un habitat de grizzlis et une éolienne dans laquelle on peut monter pour avoir une vue encore meilleure. Après tous ces efforts, nous redescendons en téléphérique. C’est plutôt vertigineux.
Retour à la maison pour une bonne bière bien méritée !
Mélanie et Stéphane 